A 21:05, en regardant ces corps se frayer un chemin dans une danse qui leur est imposée et dont ils ne savent pas quoi faire tout à fait, je me disais que cette approche que Mathilde Monnier a développée dans les chorégraphies suivantes, partir des qualités des danseurs plutôt que de les encombrer, avait décidément quelque chose de profondément démocratique.