Quand un homme aime son peuple, son pays, sa patrie, vous avez beau faire tout votre possible pour mettre en oeuvre sa disparition, sur le plan physique et mémoriel, vous n’y parviendrai jamais. C’est à cet imbroglio que sont aujourd’hui confrontés les prédateurs qui ont attaqué la Libye et les traîtres-renégats de Benghazi.
Pour justifier le manque de moutons lors de la fête de l’Aïd, hier, on a parlé de guerre civile à l’origine de ce déficit. Soit. Mais, pourquoi évite-t-on de dire que cette guerre a été imposée ? Peut-on, comme les médias « meanstream » parler de guerre civile quand on choisit un camp, celui d’une mafia inconsistance et cruelle contre un régime légitime ? J’en doute. Néanmoins, notre frère, le colonel et guide libyen Mouammar Kadhafi, cet héros africain victime de la barbarie des voleurs, commence déjà à manquer cruellement à son peuple.
Hissons la couleur verte, celle de l’Afrique et du sahel. L’âme d’un héros jamais ne mourra. Comme le dit le proverbe persan, « Celui dont le coeur est ressuscité par l’amour ne mourra jamais. » Oui, le peuple libyen aimait Kadhafi, n’en déplaise aux esprits chagrins qui veulent nous faire croire que tout va bien. Non, les Libyens voient déjà les effets méfaits du CNT/OTAN, l’association des malfaiteurs, des vampires, qui ne suceront pas le sang des Libyens ad vitam aeternam.
Les loyalistes ont mis, hier, la pédale douce, profitant de se positionner, repositionner, étudier, ressourcer et planifier leurs actions futures. Pendant ce temps-là, les renégats festoyaient avec les produits de leurs rapines. Respectant scrupuleusement la religion, les loyalistes n’ont pas perturbé la fête de l’Aïd. Mais, attention, dès aujourd’hui, demain, mais pas après-demain, ils promettent des cris et des larmes. Nous attendons avec gourmandise ces actions. Puisqu’elles sont légitimes pour la libération de la Libye, la vraie, pourvu qu’elles soient Rock’n'Roll.