Premièrement, il est bon de mentionner que ces enseignements existent dans plusieurs traditions. Je les ai trouvé dans les enseignements amérindiens (cherokee) et chez les anciens Vedrus de Russie. Je suis certain qu’on peut les retrouver aussi dans d’autres traditions. Je mentionne cela car c’est la preuve de la validité de ce qui est partagé, que des nations si loin géographiquement partagent les mêmes traditions.
Est-ce que vous protégez la terre ou vous habitez? Savez vous que la meilleure manière de protéger la nature c’est d’en tirer sa subsistance? Si vous mangez les fruits, les légumes et les noix qui poussent sur le domaine familiale vous avez la première partie de cette équation. Les plantes qui poussent sur le domaine familial sont adaptées à votre énergie et vous nourrissent comme nul autre aliment ne peut le faire. Ces plantes prennent leurs instructions des étoiles et sont donc aussi en relation avec l’intelligence primordiale créatrice de l’univers. Ils vous donnent donc aussi des énergies et des informations qui sont primordiales pour devenir tout ce qu’est un Véritable Être Humain. L’Homme qui vit dans le paradis terrestre, car le domaine familiale est un paradis terrestre ou du moins le devient au cours des générations, accomplit sa mission d’être, car il est co-créateur avec l’intelligence primordiale du monde au sein duquel il vit. En étant co-créateur il est aussi profondément amoureux du monde, il aime la terre et tous ce qui y vit. En étant amoureux de la vie sur terre il est aussi profondément en vie. La mort, ou du moins la conception de la mort comme fin, comme un cul de sac ou une limite qui fait cesser la vie, n’existe pas. C’est une variable essentiel à la résolution de cette équation qu’est la continuité de la conscience au sein de sa famille et du monde.
On permet à l’Homme qui a pris soin de la terre de renaître. De plus, il veut renaître sur terre, puisqu’il l’aime de tout son cœur! Et il aime les siens comme seul un être véritable peut aimer c'est-à-dire avec tout son corps, son cœur et son esprit. On sait que l’amour peut tout, alors voilà, il ne manque plus qu’une partie de l’équation pour réaliser la continuité de la conscience.
L’Homme véritable dors avec sa famille sous les étoiles. Ils regardent ensemble le ciel et sans les nommer s’attachent ensemble à une étoile en particulier qui devient leur étoile, l’étoile de la famille. Cette étoile ressent leur amour, un lien est créé et l’énergie qui coule entre eux, entre l’étoile et la famille, est porteuse d’informations. Cette information est enregistrée par l’étoile et par la conscience immortelle du papa, de la maman et des enfants. Lorsque par amour et par les liens créer avec la terre le grand-père renaît dans les petits fils de ses enfants, il retrouve les siens et lorsqu’il dort sous les étoiles l’étoile de la famille lui envoie les mémoires de ses vies passées. En fait, elle agît plus comme un catalyseur, un déclencheur de la mémoire qui existe dans les cellules de ses corps subtiles. C’est alors que la continuité de la conscience est réalisé et qu’ensemble la famille se souviens : ah !! mais oui,! tu étais mon papa toi qui est maintenant mon fils, ah !! mais voilà tu étais ma grand-mère, fille de mon amour ! Et il faut comprendre ici que lorsqu’on vit en harmonie avec la nature on devient naturellement télépathe alors lorsque la mémoire s’éveille sous les étoiles c’est toute la famille qui la partage, dans un bonheur qui serait trop grand pour être contenue par le faible cœur des pauvres si-viles-isés d’aujourd’hui.
Voyez vous un peu ce qui a été perdu? Ce que nous devons retrouver?
J’ai vécu la semaine passée des funérailles classiques de civilisés et on me demandait de voir si l’âme de la personne était heureuse et si on pouvait l’aider. L’âme de la grand-mère était là. Mais ouf… le poids des traditions civilisés, ce cimetière qui condamne la personne à la mort perpétuelle en affirmant dans la pierre son décès, le poids d’une existence complètement séparé de la nature et de la mission d’être d’un véritable être humain, tout cela rendait toute intervention inutile, mais la tristesse de tout cela était d’un poids… et je pouvais rien faire.
La mort dans les communautés naturelles n’existe pas. Lorsqu’un corps devient inhabitable l’être s’attache encore profondément à la vie et son âme n’a rien de plus pressé que de revenir ici, sur cette merveilleuse et sainte terre mère, parmi les siens. Et lorsqu’on se retrouve, la joie est aussi magnifique qu’une pluie d’étoiles filantes dans les chansons et les danses d’une famille retrouvée!
Paix et lumière a tous et toutes
Aigle Bleu