Hier, elle a pleuré. C’est troublant d’imaginer les larmes d’une muse. Elle a pleuré pour un de ces petits malentendus accouplés au dérisoire. Elle a pleuré pour ce piètre écrivain qu’elle voit comme un poète.
J’écrivais. Ma muse frôlait les mots avec ses larmes, sa peau, ses frissons…
Didier