Magazine Journal intime

Publié le 29 février 2008 par Pascal

Il y a de ces moments où un appel téléphonique, une rencontre ou une lettre vous laisse ahuri, sidéré, sans voix. Je ne trouve pas d’autres mots en français pour décrire les effets de l’information que j’ai reçu ce soir.

Je ne sais plus quoi en penser, sauf de sourire car je suis en paix avec moi-même.

Si la lecture de mon blogue te fait mal, il serait temps que tu arrêtes de te tourmenter toi-même et que tu effaces le lien qui se trouve dans ton ordinateur. Je n’écris pas pour régler mes comptes avec toi et, même si j’ai parlé de toi une fois de temps en temps à travers mes frustrations, je l’ai fais pour faire sortir le trop plein, pour exprimer mes émotions et pour réfléchir à grands coups de clavier.

Tu continue de me lire si tu veux, je ne changerai pas d’adresse, ni n’arrêterai d’écrire. Je ne comprends pas pourquoi tes collègues de travail viennent me lire, mais mon blogue est public. Je ne comprends pas pourquoi tu as partagé mon adresse avec tes ami(e)s, mais mon blogue est public. Peu importe qui vient me lire depuis la 18e, mon blogue est public. Je n’invoquerai pas St-Luc en vain, mon blogue est public.

Sur ce, bon voyage dans le sud, profitez du soleil et du sable chaud…

À tous : Veuillez NE PAS commenter ce billet. Merci.


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