Comme le disait Léon Blum, « Toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté, doit commencer par leur garantir l’existence. » Mais ceux qui passent leur temps à réclamer à corps et à cri la démocratie pour les sociétés africaines le savent, ils ne viennent que pour leur profit, et non celui d’assurer la subsistance des populations africaines.
Si la démocratie se résumait à des coups de canons, ça se saurait. Or, ce n’est que de cette manière que l’Occident veut instaurer la démocratie en Afrique. Hélas, certains traîtres africains, avides de pouvoir et n’ayant aucun sens de l’Etat, pactise avec le diable pour affamer leur peuple et s’enrichir. Le cas libyen est pâtant. Les prédateurs n’ont pas demandé au frère guide Mouammar Kadhafi, comme ils le font avec Al-Assad, d’engager des réformes mais de partir.
Selon la maxime de Léon Blum, Mouammar Kadhafi avait lui au moins, réussi à garantir l’existence de ses concitoyens. En Afrique, c’était le modèle, reconnu par le FMI notamment. Tout ou presque, était gratuit. Aujourd’hui, tout est payant. La flambée des prix développe la contrebande, l’insécurité, la précarité. La Libye florissante n’est plus que champ de ruines.
Mais, un leader, un vrai, un lion, ne meurt jamais. Hier, un match amical entre l’Algérie et la Tunisie a vu une bannière géante avec l’image de Mouammar Kadhafi dans les tribunes.
Ceux qui croient qu’ils ont tué l’homme, pensent avoir fait le plus dur. Or, le peuple libyen, au sein de la résistance, est entrain de se réhabiliter et de prendre conscience de sa valeur et de ses capacités impulsées par Mouammar Kadhafi. La résistance justement, s’est réunie secrètement quelque part en Libye. Il semble que des actions fulgurantes sont en préparation mais, ses leaders refusent d’en dire plus.
Le constat est net, clair et précis. Mouammar Kadhafi est plus vivant que jamais !