Il est vrai que nous remplissons chaque petite ouverture de temps avec une pléthore d'activités et nous trouvons en plus le moyen d'en ajouter grâce à notre technologie si délirante et tellement pénétrante que cela dévore encore plus vite cette dimension qui nous échappe.
Peut-être devrions nous cesser de faire quoi que ce soit en nous sentant devenir fous, bien sûr, mais en appréciant à nouveau le silence, le temps qui va nulle part et qui – une fois encore – nous semblerai peut-être durer éternellement ...