Cette semaine, on va faire un tour du côté du Pérou. Si, si !
La Périchole est une chanteuse de rue amoureuse de son Piquillo (qui chante avec elle). Sauf qu’ils meurent de faim, alors, pour échapper à la misère, La Périchole décide d’abandonner son amant pour aller manger chez le Vice-Roi qui vient de tomber amoureux d’elle. D’une moralité exemplaire, elle prévient son amant par une lettre. Un peu faux-cul, elle ne lui révèle pas qu’elle le quitte pour aller se gaver la panse, mais lui laisse croire qu’elle va mourir d’amour (à défaut de mourir de faim). J’ai toujours trouvé La Périchole particulièrement retorse et sans morale (mais comme à la fin elle revient au « bercail », on lui pardonnera)
Musique de Jacques Offenbach et Livret de Ludovic Halévy et Henri Meilhac (les complices habituels du sieur Jacques)
Pour l’interprétation et la mise en scène, je ne sais rien (si vous savez, dites-le) même si j’ai l’impression que c’est du Jérôme Savary mais pas sûr à 100% (parfois les mises en scène se ressemblent tellement !)