Magazine Journal intime

La peste de L’amour est dans le pré

Publié le 21 novembre 2011 par Anaïs Valente

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Elle a dit dans Ciné Revue « je ne suis pas une peste », et pourtant si, Geneviève est une vraie peste.

Déjà, elle a tout fait pour séduire Marc et évincer ses concurrentes, alors qu’il ne lui a jamais plu.  Elle avait d’ailleurs ratissé large en contactant plusieurs concurrents, « comme si que » la seule chose importante pour elle était de passer à la télé.  Argh.

En cerise sur le gâteau, ce séjour à l’étranger tourne au fiasco.

Morceaux choisis :

 « je regarde la fleur, elle est jolie… elle » (garce sans nom),

« tu n’es absolument pas mon genre d’homme » (ben ça on l’avait compris),

« n’hésite pas à poser des questions hein », sachant qu’il ne parle pas un mot d’anglais et est donc incapable de poser la moindre question (opération humiliation).

"T'as une grosse tête hein.  Comme ça je ne te vois plus", en lui posant une casquette sur la tête (et s'il la foutait à l'eau, ça nous ferait des vacances).

« Je voulais te faire le privilège de partir avec toi » (oufti, ça serre pas trop, là-haut ?)

Elle prend un malin plaisir à critiquer tout ce que fait ce pauvre Marc : mettre ses coudes sur la table, son manque d'éducation (et rabaisser autrui, c'est pas un manque d'éducation des fois ?) mettre des chaussettes avec des sandalettes (même si c’est vrai que c’est moche, qu'elle lui foute la paix), bref remettre en cause tout ce qu’il est, dit et fait, sa nature profonde.

Et puis paraît qu'elle a mis son adresse mail sur un Tshirt avec "contactez-moi" (bonjour l'affront), j'avais pas vu, trop occupée à réfreiner mes envies de lui flanquer une tarte virtuelle.

Je n’ai qu’une chose à dire, cette Geneviève est ignoble.

Et puis moi, mon bon-papa, il avait les ongles noirs, mais le coeur plein d'amour, et c'était pour nous préparer de bons légumes de son jardin, voilà.  Geneviève, elle a pas les ongles noirs, mais c'est son âme qui est noire.  Tchu.

D’un autre côté, la prétendante du gentil Ben n’est pas très cool non plus, elle râle sur tout, n’apprécie pas ses vacances, veut rentrer, trouve les pâtisseries trop grasses, la file trop longue.

Et puis le premier homo de l’émission, qui préfère son pc et son gsm à son gentil prétendant, y’a des baffes qui devraient se perdre.  

Heureusement, dans l’histoire, Anne-Michèle et son chéri Christophe sortent du lot, de l’amour plein les yeux, des déclarations plein la bouche, c’est trop mimi.  So romantic, so émotionning.


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