Dingue comme le temps passe vite, nous vlà déjà à l’aube de Noël.
Ah bon, c’est pas le réveillon Noël ce soir ?
Tiens, bizarre, car la Retebef diffuse « A la maison pour Noël », avec Virginie Effira, alors je croyais moi…
Suis-je bête, de nos jours, les fournitures de rentrée sont en magasin en juillet, les bonbons de Saint-Nicolas envahissent les rayons en octobre et les décos de Noël s’achètent dès le 2 novembre et sont soldées dès le 10 décembre. Ça doit être because le réchauffement climatique, tout tourne à l’envers, même le calendrier.
Trêve des confiseurs de plaisanterie, ce soir je vais mater « Histoires en série », sur France 2, une émission dont j’avais beaucoup aimé le premier volet, sur les secrets, si mes souvenirs sont bons. Ici, ce sera sur les ceusses qui ont tout perdu, notamment Philippe, qui a inspiré, enfin bien plus qu’inspiré, ce film absolument fabuleux : Intouchables.
Comment, vous pas encore l’avoir vu ? Zou, filez immédiatement. Je l’ai vu, moi, m’imaginant un film touchant et émotionnant au possible. Il l’était, mais il était également drôlissime, ça faisait un bail que j’avais pas tant ri. Et rire en se sentant envahi d’une émotion incroyable, c’est le top. François Cluzet, que j’adore depuis toujours, y est fabuleux, de même que Omar Sy. Un film à voir impérativement.
J’ai vu aussi, dans la foulée, Mon pire cauchemar, avec Benoît Poelvoorde, Isabelle Huppert et Virginie Effira, encore, et j’ai été un tantinet déçue de ce film que j’avais loupé au FIFF, en VIP que je n’étais pas suffisamment. Un film inégal, qui passe trop vite de la grosse comédie au sérieux, où Poelvoorde passe lui aussi trop vite du gros beauf au mec touchant. Pas mal, parfois drôle, parfois mignonnet, mais pas transcendant.
Et puis La couleur des sentiments aussi, titre initial The help, tiré d’un livre qui raconte l’histoire des bonnes noires dans l’Amérique des années 50-60, de la ségrégation qu’elles subissaient, de l’ignominie des femmes blanches, avec elles, mais aussi entre elles… et surtout de l’amitié entre noires et blanches, envers et contre tout. Magnifique film. (Je vous mets l'affiche US, car j'adore la phrase du dessus, très représentative du film).
Quant à Twilight, pas vu. Adoré le premier, détesté le second, bof le troisième alors pour le quatrième, y’a pas le feu.