Des extraits de poèmes de Jules SUPERVIELLE, en forme de Haïku: ...
L’oubli me pousse et me contourne
Avec ses pattes de velours,
Il est poussé par le silence
Et l’un de l’autre ils font le tour.
Dans l’oubli de mon corps
Et de tout ce qu’il touche
Je me souviens de vous.
Le silence cherche un abri
et tout lui semble plein de bruit.