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Moins de soixante-douze heures après l’atterrissage, bye...

Publié le 28 novembre 2011 par Fabrice @poirpom
Moins de soixante-douze heures après l’atterrissage, bye...

Moins de soixante-douze heures après l’atterrissage, bye bye le VIP Caracas. Très joli nom, très joli plumard, très joli PQ. Pour un tarif exceptionnel d’un bras par jour. Donc intégrité physique menacée.

Après quelques promenades, un vieil hôtel, qui sent bon le camphre et la moquette quinquagénaire, devient l’élu.

Peinture blanche craquelée, chambre avec deux lits simples, micro kitchenette avec résistances électriques datant de la découverte des Amériques pour chauffer de l’eau ou autre, mobilier rustique, bidet aux allures de sex toy… L’hôtel est un palace déglingué. Avec connexion Wifi.

Putain, ça rame. Fait mal au cul.

Celles et ceux pour qui modem 56k signifie quelque chose peuvent saisir la réaction de Jou-Jou après sa première tentative de connexion.

Tentative…

Le lendemain, Jou-Jou se dégotera une clé 3G chez un opérateur local.

Putain, ça rame. Fait mal au cul.

Donc la route sera longue.


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