Moustapha Abdeljalil
Diantre, arrivé en catimini, hier, à Tripoli, le chef des renégats de Benghazi et du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, a affirmé aujourd’hui que ses petits amis félons et lui, étaient prêts à pardonner aux membres des forces de Mouammar Kadhafi ayant combattu les rebelles. Un gros mensonge que vont relayer les médias, alors que lui et ses terroristes sont aux abois.
De quel rebelles parle-t-il ? Les Qataris, les forces spéciales franco-britanniques ? Les membres d’Al Qaïda ? Ce révolutionnaire de pacotille et par procuration qui ne contrôle pas son logos fait un aveu cinglant. Ce sont des barbares. Selon les dires du chef sous tutelle de l’OTAN donc, agrégé ès roulettes et docteurs ès frappes, le pardon et la tolérance font enfin partis de leur discours guerrier. Quel enfumage ! Voici ce qu’il a dit ce matin:
“Nous sommes capables de pardon et de tolérance, nous sommes capables d’absorber nos frères qui ont combattu les révolutionnaires et nous sommes aussi capables d’absorber tous ceux qui ont commis un acte ou une parole à l’encontre de cette révolution”.
Prenons donc ce voyou au mot. Monsieur Brutus, instaurez une vraie démocratie en Libye et permettez aux membres de Kadhafi d’y participer. Le meilleur dans cette arnaque du jour résulte même de l’intitulé de la conférence de presse: la justice et la réconciliation. Fichtre. Quand des criminels s’habillent d’oripeaux élogieux pour faire croire en une quelconque vertu, sans commentaire.
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*APRÈS L’INTERDICTION DE L’HOMMAGE QU’ON VOULAIT RENDRE AU GUIDE, UN NOUVEL AURA LIEU LE 17 DÉCEMBRE PROCHAIN A 14H. LE LIEU VOUS SERA COMMUNIQUE ULTÉRIEUREMENT.