Publiée dans la revue Current Biology, une étude britannique aurait décelé une particularité physique dans le cerveau des chauffeurs de taxi londoniens : leur hippocampe serait littéralement saturé par la connaissance des milliers de rues mémorisées, au détriment de la faculté d’acquérir facilement de nouvelles informations… On frémit à l’idée que les formations universitaires ou celles de grandes écoles qui gavent le cerveau de nos étudiants d’informations inutiles puisent un jour les empêcher d’innover