Depuis quelques temps, je fais les poubelles.
Nan, pas pour y trouver de la boustifaille, même si la crise pourrait nous y pousser plus vite que prévu…
Pour me cultiver.
Si si, je vous jure.
Y’a quelques semaines, j’avais chopé un recueil d’histoires, dont notamment Le club des amateurs des épluchures de patates.
L’autre mercredi matin, je suis tombée sur un ensemble de livres de Barbara Cartland, bien entourés d’élastiques, tout propres sur eux. Jamais lu du Barbara Cartland, voilà l’occasion.
Et hier, avec le grand vent, je repère, dans une caisse entrouverte, une collection complète de sous-bocks (euh, ça s’écrit comme ça ?).
Déjà je me dis que c’est dommage de les mettre aux papiers-cartons alors qu’un collectionneur pourrait être heureux, mais soit.
Ensuite, je remarque la forme toute particulière des sous-bocks blancs Hoegaarden que j’ai connus y’a un bail emphytéotique déjà : ceusses avec des phrases dessus.
J’adorais cette période, où chaque sous-bock était une découverte.
Alors je n’ai fait ni une ni deux, je me suis emparée de ce trésor, de ces dizaines de sous-bocks, qui me rappellent cette page Facebook « panneaux », qui me fait rire au quotidien.
Et, si ça vous botte (mais si ça vous botte pas, c’est tant pis, non mais, chuis chez moi hein), je vous les présenterai régulièrement…
Allez, vlà la première blague blanche, blanche comme la bière éponyme, of course :