Le renégat en chef, Mustafa Abdeljalil
Avant-hier, lors de la célébration du 60e anniversaire de la fête de l’indépendance de la Libye, le chef des renégats libyens, Mustafa Abdel Jalil, a prononcé un discours sur lequel il est important de revenir. Cette logorrhée morbide et mortifère cache une peur bleue de la démocratie. On ne peut demander au peuple de soigner ses blessures, de pardonner et d’un autre côté, s’acharner sur les Kadhafi qui ont fait de la Libye le pays le plus prospère d’Afrique et que son clan de terroristes, appuyé par les forces sataniques de l’OTAN ont tout détruit.
Alors que les médias “mainstream” s’appliquent encore à désinformer en présentant cet être haineux en arguant qu’il a appelé à l’unité et à la réconciliation, dans son logos, ce n’est pas le cas. Il pue la haine, la respire.
Petits tracks backs :
“Le pardon doit marquer la relation future entre les Libyens (…). La Libye de l’avenir doit se construire sur le principe de l’égalité, pas du régionalisme”
Il recommande au peuple de s’écarter de “la rancoeur et de la vengeance” et à oeuvrer “main dans la main” pour construire un pays uni.
“Les enfants Kadhafi sont déterminés à déstabiliser la Libye”
Examinons cette dernière citation. Alors que lui, le sous-fifre de l’OTAN a permis ce chaos, il se permet d’amputer la responsabilité sur les autres. La vraie crainte c’est que cet homme sans dignité ni reconnaissance se retrouve un jour à diputer loyalement le pouvoir avec un membre du clan Kadhafi. La popularité des Kadhafi ne s’est jamais démentie. Ainsi, il faut pratiquer une chasse aux sorcières, diaboliser pour apparaître comme un sauveur.
On peut comprendre aussi que cet hypocrite, qui doit tout aux Kadhafi a peur que ses secrets ne soient dévoilés. Il est dans la même logique que ses maîtres qui prônent honteusement une démocratie d’exclusion. Imaginez un seul instant une élection libre et le retour de Aïcha Kadhafi à qui rien n’est reproché. Tous les renégats savent qu’ils seront battus en plate couture.
Ces traîtres n’avaient-ils pas promis d’organiser des élections une fois la Libye libérée ? Ne l’ont-ils pas proclamé urbi et orbi après l’assassinat barbare du frère guide Mouammar Kadhafi ? Qu’en est-il aujourd’hui ? Rien. Il fallait simplement éliminer Mouammar Kadhafi.