Magazine Journal intime

J’ai vu New year’s eve / Happy new year

Publié le 07 janvier 2012 par Anaïs Valente

Bon, en fait, c’est lequel le vrai titre de ce film, j’ai toujours pas capté ?  Passque moi je pensais que c’était Happy new year, vu que je l’ai lu sur l’affiche, mais paraît que non.
Ce que je n’ai pas capté non plus c’est comment le réalisateur de Love Actually, un de mes « favorites », plein de douceur, d’humour, d’émotion et d’amour, a pu ensuite réaliser ce film pas touchant pour un penny.
Pourtant, y’a du beau monde là-dedans, des tas d’acteurs et actrices hypra célèbres.  Mais rien à faire, pour moi, la sauce n’a pas pris du tout.  Rien ne m’a paru crédible.  Rien ne m’a paru touchant.  Je ne me suis attachée à aucun des personnages.  Je me suis demandé si c’était car ils étaient trop nombreux, mais non, dans Love Actually c’est kif kif.  Et ici, ils ont mis de la réconciliation entre deux ex, des retrouvailles romantiques sur fond de « douze coups de minuit », de la maladie grave et de la rencontre improbable dans un ascenseur, bon allez, cette rencontre dans un ascenseur, j’ai tout de même aimé et ressenti un petit frisson.  Tout petit, seul et unique, mais tout de même un frisson frissonnant.
Après Valentine’s Day, toujours du même réalisateur, qui m’avait fait le même effet, j’en viens à me poser la question qui tue : n’aimé-je plus les comédies romantiques, nom d’un petit DVD ?
Allez, je vous mets les deux affiches.

PS : en vous les cherchant, ces deux affiches, je comprends le pourquoi du comment, c'est pas le même réalisateur qui a fait ces deux films et Love Actually... il a fait Pretty Woman

Maintenant, j'ai capté... même idée de destins croisés, mais pas la même réussite.  Pourtant, Pretty Woman reste un de mes chouchous du romantisme, mais bon.

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