café

Publié le 05 mars 2008 par Leonor

Assis au café.

Cette impression qu’il n’y a pas de sujet littéraire, mais que chaque détail, voulu, travaillé et dit peut devenir texte. Qu’il enfle et se développe d’abord, puis qu’on le réduise, le transforme, l’amenuise. Et dans ce texte court ce qui est roman, théâtre, poésie, dialogue, etc … converge.