Assis au café.
Cette impression qu’il n’y a pas de sujet littéraire, mais que chaque détail, voulu, travaillé et dit peut devenir texte. Qu’il enfle et se développe d’abord, puis qu’on le réduise, le transforme, l’amenuise. Et dans ce texte court ce qui est roman, théâtre, poésie, dialogue, etc … converge.