Je n’avais entendu qu’un seul morceau d’Ibrahim Maalouf, assez pour dire oui quand C. m’a proposé d’aller le voir à la Cigale.
A 20h, il est venu saluer son public, en veste et gilet, pour présenter la première partie qu’il avait choisie. Quand il est revenu plus tard, avec ses musiciens, il avait enfilé son costume de scène : jogging marine et baskets blanches.
Après l’intro, classique, il a suffi de trois notes pour emporter le concert. La suite a ressemblé un peu à ça, intense et crescendo :
Sauf que c’était encore plus fort. Parce que c’était aussi drôle, bondissant, surprenant. Parce qu’il y avait un piano. Parce qu’Oxmo Puccino est monté sur scène, et Mathieu Chedid sur Beyrouth, et d’autres encore. Parce qu’on était là, surtout.
Merci, M. Maalouf.
(demain, finalement, j’irai voir François H. en concert au Bourget. Accroche-toi pour être à la hauteur, François !)