C'est l'histoire d'une poule...

Publié le 24 janvier 2012 par Noalita

....qui découvre le fil à couper le beurre.

L'autre jour; je vide la machine à laver la vaisselle et je range les couverts dans le tiroir de la cuisine.

Au moment de fermer ce fameux fucking tiroir, celui-ci se coince à mi-chemin.

Maligne et immature, je tente de force la fermeture  d'un grand coup de hanche !!

Bing. Je me nique la hanche. Le fucking tiroir refuse toujours de se fermer et me voilà avec une hanche endolorie, un coin de tiroir abîmé et une pauvre fourchette tordue !!

Le "forcer pour résoudre" "je vais te niquer ta race" m'habite (donc) encore

et il ne résoud (encore et toujours) rien.

Ok !!


Et pourtant j'aurais pu :

- constater que le tiroir ne ferme pas (zut)

- l'ouvrir en grand, m'incliner, observer ce qui coince

- découvrir qu'une fourchette récalcitrante grippe la mécanique

- retirer la dite fourchette récalcitrante, l'allonger parmi ses congénères

- refermer le tiroir

- sans violence

....

Ma route est encore longue les amis.

Je vous embrasse fort fort !!

Oui Copenhague c'est bien.

Même sous la neige,

même sous le soleil,

même sous la pluie.

On a tout eu 

....

4 adresses (lieux) à vous conseiller, mais cette ville regorge de bons plans (chers)

(cette ville est chère)

Le Royal Hotel Radisson Blu et sa décoration dans son (presque) jus des années 1970

du génial Arne Jacobsen.

Demandez à visiter la chambre 606

Le Paté Paté love of food n' wine, ambiance-ambiance jusque tard dans la nuit, bonne bouffe, bougies blanches partout, beaux mecs, belles nanas, bouquins de cuisine et bouteilles de bon vin sur tous les murs et serveurs charmants, patients et tatoués en cerises sur le cake.

le magasin SOSTRENE GrENEs qui (m'a) remplie, fo(lle) de bonheur, de boites en plastiques et aux autres objets inutiles et forcément nécessaires.

J'y est perdu mes nerfs et mon mec

et le quartier autoproclamé "ville libre de CHristiania", qui fonctionne comme une communauté intentionnelle autogérée, fondée en 1971 sur le terrain d'une caserne militaire par un groupe de quatteurs, de chômeurs et de hippies. C'est une des raires expérience historique libertaire toujours en activité en Europe du Nord (source Wikipedia)

Son principal slogan est 

"vivre et laisser vivre"

...

Un programme qui fonctionne bien.
Mais ils ne sont que 900 

Partir voir ailleurs si j'y suis, même pas très loin, même juste pour quelques 

heures, même avec Easy Jet, c'est toujours du plaisir en branche et un bon anxyolitique pour plus tard, pour les jours gris/bleu du reste du temps de la vraie vie.

Essayez !!