Je monte la rue du refuge, le corps penché en avant, je peine un peu.
Je regarde à droite et à gauche : des portes et des fenêtres en bois, en fer, métalliques, anciennes ou récentes défilent de chaque côté.
Une fille me suit puis pose son grand sac sur le sol et enfonce une clé dans la serrure. Je ne veux pas la déranger ; je poursuis mon ascension.
Je regarde l'heure, il me faut rebrousser chemin.
Je reviens sur mes pas, mes chaussures dérapent un peu. J'ai peur...
Arrivée en bas, je tourne à droite, tout va bien...