Je reviens sur la fermeture précipitée de la galerie Nantaise qui portait le nom de son fondateur. Alain Rouzé
En fait j'ai le sentiment dans ces périodes de doute, d'un aveuglement ou à l'opposé d'une stigmatisation des institutions concernés.
En l'occurrence, je pointe les galeries qui auront beaucoup de mal à accepter ce changement de réalité économique.
Je pense à la conccurence d'internet, le marché de l'art passe de plus en plus par ce média.
Dans une période de crise (voilà, j'ai osé le mot..) Faut-il faire l'autruche ? Quitte à aller dans le mur.
Ou alors, alerter les acteurs concernés (artistes, amateurs d'arts et marchands) sensibles à cette crise afin de trouver ensemblel'amorce de solutions pour notre survie à tous.
2 états de flo par un jour d'hiver
100x80 acry et marouflage sur toile
gegout©adagp2012
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