L’émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, dirigeant d’une très grande démocratie donneuse de leçons, reprenant mot pour mot la dialectique morbide et mortifère les prédateurs occidentaux, ferait mieux de balayer devant sa cour. Les grands moyens utilisés pour déstabiliser la Syrie, mais visant plutôt à terme à anéantir l’Iran, ne trompent personne, à part les nigauds et les racistes. Décidément, ces gens se permettent tout, mentent, abusent des autres et ne se gênent pas de favoriser des génocides ici ou là.
Ils nous prend vraiment pour des gobe-mouches, avec ce qu’ils veulent faire en Syrie. La Turquie qui veut par tous les moyens instaler un régime islamiste en Syrie, les Occidentaux qui veulent mettre en danger les chrétiens syriens et tous les supporters des guerres “justes” en sont pour leurs frais. L’impudicité qui lie les pays du golfe et les Etats-Unis portent visiblement leurs fruits mais, comme le dit le dicton, cent jour pour le voleur, un jour pour le patron. Il s’agit ici du mensonge qui peut courir cent ans et que la vérité rattrape en un jour. Proverbe africain qui s’applique ici, dans le cas syrien, les cent mensonges faisant partie de la guerre scélérate contre la Libye.
Induire les autres en erreur fait partie du mensonge comme conséquence. Comme on le dit très souvent, le mensonge a Satan pour père. Ainsi, ceux qui, à travers le monde, font des guerres de prédation avec la propagande qui va avec, ne sont que des suppôts du diable.