Avec la même malhonnêteté intellectuelle, Barack Obama le président américain a encore une fois demandé le départ de Bashar al-Assad. Au nom de quoi ? Des allégations mensongères de l’opposition syrienne tueuse ? En se basant sur du vide, de Washington à Londres en passant par Paris, c’est le même refrain. Les leçons de Libye ont servi de détonateur car, ce crime contre l’humanité en toute impunité a fait pousser des ailes aux prédateurs, convaincus qu’ils pouvaient faire du monde ce qu’ils voulaient.
Échaudées par le perpétuel mensonge des Occidentaux et des pays du golfe, la Russie et la Chine ont dit NON. Quoi de plus logique et normal ? C’est aux Syriens de régler leur problème. Mais, quand la partialité guide la logique morbide de ceux qui veulent finir avec la Syrie, on se rend bien compte qu’un rapport de force est engagé. La puissance chinoise et celle des russes font que personne ne peut oser dire que la prochaine cible sera ces pays. Question d’armes de dissuasion. L’Iran a donc intérêt à s’en doter, pour que ces prédateurs se taisent et que l’équilibre mondial se fasse.
Aux Etats-Unis, les indignés, aux mains nues, sont matraqués. Qu’en serait-il s’ils étaient armés ? Je vous laisse deviner. Pourquoi Bashar al-Assad ne devrait-il pas utiliser la force légitime pour raser la vermine ? Ces gens nous prennent pour des cons. Vous remarquerez qu’ils ne condamnent toujours pas les terroristes syriens.
Les “pro-démocrates” comme les surnomment les médias “mainstream” tuent, pillent, et se rendent comptent que rien n’y fait. Alors, tous leurs crimes voulus sont incriminés au régime. C’est leur seule issue: la violence. De mémoire d’homme, jamais, oh que jamais, un démocrate ne peut prendre d’assaut une ambassade. Ce que ces renégats ont fait à Tripoli, avec la complicité de leur pendants libyens du CNT prouve que ces gens ne sont pas des démocrates, mais des fossoyeurs de la démocratie…