Ce qui est en cause : tous les autoentrepreneurs sont d’accord, une taxe nommée CFE (Cotisation Foncière des Entreprises). Celle-ci est payable au bout de 3 ans d’activité. Son montant varie de l’endroit ou l’on vit et de l’endroit où l’on exerce (de 200€ à 2000 €).Étant donné que le moyenne des autoentrepreneurs gagnent environ 500€ brut par an. Une fois les impôts, les cotisations sociales, les divers (taxe formation professionnelle, fournitures…), le montant net restant est très largement inférieur à la taxe demandée alors il est logique qu’au bout de trois ans la quasi-totalité des autoentrepreneurs ferment la porte.La solution est simple et existe de deux façons :La 1ere : Un prélèvement à la source, sur le chiffre d’affaire.La 2eme : Mettre le statut VDI (Vendeur à Domicile Indépendant) qui ne paye rien si ces ressources sont inférieures à 16,5% du plafond annuel de la sécurité sociale. Ce qui reviendrait à être exonéré de cette taxe si l’on gagne moins de 5000 € par an environ.A force de taper sur le régime de l’auto entreprenariat, c’est logique que celui-ci cède et finira par disparaître.Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les autoentrepreneurs votent également et leur nombre de voix peut faire mal … très mal même. Alors pensez-y, Mesdames et Messieurs les politiciens.
Auto entreprenariat : Chronique d’une mort annoncée ?
Publié le 15 janvier 2012 par Lavoixduveilleur
Jamais depuis sa création, le nombre de radiations volontaires avait dépassé celui de créations.
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Ce qui est en cause : tous les autoentrepreneurs sont d’accord, une taxe nommée CFE (Cotisation Foncière des Entreprises). Celle-ci est payable au bout de 3 ans d’activité. Son montant varie de l’endroit ou l’on vit et de l’endroit où l’on exerce (de 200€ à 2000 €).Étant donné que le moyenne des autoentrepreneurs gagnent environ 500€ brut par an. Une fois les impôts, les cotisations sociales, les divers (taxe formation professionnelle, fournitures…), le montant net restant est très largement inférieur à la taxe demandée alors il est logique qu’au bout de trois ans la quasi-totalité des autoentrepreneurs ferment la porte.La solution est simple et existe de deux façons :La 1ere : Un prélèvement à la source, sur le chiffre d’affaire.La 2eme : Mettre le statut VDI (Vendeur à Domicile Indépendant) qui ne paye rien si ces ressources sont inférieures à 16,5% du plafond annuel de la sécurité sociale. Ce qui reviendrait à être exonéré de cette taxe si l’on gagne moins de 5000 € par an environ.A force de taper sur le régime de l’auto entreprenariat, c’est logique que celui-ci cède et finira par disparaître.Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les autoentrepreneurs votent également et leur nombre de voix peut faire mal … très mal même. Alors pensez-y, Mesdames et Messieurs les politiciens.
Ce qui est en cause : tous les autoentrepreneurs sont d’accord, une taxe nommée CFE (Cotisation Foncière des Entreprises). Celle-ci est payable au bout de 3 ans d’activité. Son montant varie de l’endroit ou l’on vit et de l’endroit où l’on exerce (de 200€ à 2000 €).Étant donné que le moyenne des autoentrepreneurs gagnent environ 500€ brut par an. Une fois les impôts, les cotisations sociales, les divers (taxe formation professionnelle, fournitures…), le montant net restant est très largement inférieur à la taxe demandée alors il est logique qu’au bout de trois ans la quasi-totalité des autoentrepreneurs ferment la porte.La solution est simple et existe de deux façons :La 1ere : Un prélèvement à la source, sur le chiffre d’affaire.La 2eme : Mettre le statut VDI (Vendeur à Domicile Indépendant) qui ne paye rien si ces ressources sont inférieures à 16,5% du plafond annuel de la sécurité sociale. Ce qui reviendrait à être exonéré de cette taxe si l’on gagne moins de 5000 € par an environ.A force de taper sur le régime de l’auto entreprenariat, c’est logique que celui-ci cède et finira par disparaître.Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les autoentrepreneurs votent également et leur nombre de voix peut faire mal … très mal même. Alors pensez-y, Mesdames et Messieurs les politiciens.