J'ai tout de même été quelque peu chagrinée par les références à outrance de Lord Henry, justement, et les notes toutes les trois lignes. Et aussi par la préface, parce que je n'aurais jamais du la lire avant le roman.
Lorsqu'on est amoureux, on commence toujours par se tromper soi-même et on finit toujours par tromper les autres. C'est ce que le monde appelle une histoire d'amour.
(...)on vit à une époque où seul le superflu est nécessaire.
La mort et la vulgarité sont les deux seuls faits qui restent inexplicables au XIXe siècle.
A part ça j'ai découvert il y a moult temps (il est assez terrifiant à prononcer ce mot !), quelqu'un qui s'amuse avec les arbres et les horizons, ça donne ça.
J'ai découvert également Lior Arditi, et pour, dans mes chouettes années, avoir vécu avec des étudiants en 3D et en art (kikou !), je peux vous dire que ce mec envoie de la boulette !
Prochainement un post plein de gens trop biens que je kiffe et que je suis au jour le jour, ou du moins dès qu'ils daignent faire une màj.