J’ai testé Harlequin – la collection Blanche – Ce fils qu’il n’attendait plus (Scarlett Wilson) – Le destin d’un pédiatre (Judy Duarte)

Publié le 12 février 2012 par Anaïs Valente

« Le dimanche, on lit au lit ».

Ça doit bien faire vingt ans que j’ai plus lu de l’Harlequin.  J’en lisais quand j’étais ado, après ma phase Sweet Valley.  Et ma phase Sylvie (qui a connu Sylvie hôtesse de l’air ?).  Bien sûr, après ma phase Bridget Jones, j’ai découvert la collection Red Dress Ink, made by Harlequin, mais c’est plus chick lit que guimauve lit, d’après moi.

Alors, quand on m’a proposé de devenir membre du cercle des lectrices Harlequin pour Babelio, ben j’ai dit oui, trois fois oui, histoire de me replonger dans ces histoires romantico-cucul la praline, comme je les appelle, sans critique aucune, vu que j’aime ça, moi, le romantico-cucul la praline, surtout pour les films.

Et pour commencer en beauté, j’ai reçu le dernier né de la collection Blanche, celle où les infirmières pauvres tombent amoureuses des séduisants médecins riches mais hautains, qui finissent par les aimer d’amour pour toujours.

J’ai lu ma première ligne au moment où le premier flocon de neige tombait sur la Gelbique, pas mal pour une lecture de collection Blanche, non ?

Et je me suis plongée dans Ce fils qu’il n’attendait plus et Le destin d’un pédiatre, deux histoires se passant dans le milieu médical, of course.  Pas d’infirmière pauvre, ouf, les femmes peuvent désormais être médecins, elles aussi.  Mais de l’amour toujours, c’est clair et net, attendez, Harlequin ne va pas nous servir des drames sanguinolents qui finissent mal, tout de même hein !

Bien sûr, c’est parfois peu crédible, parfois trop beau pour être vrai, mais c’est mimi, c’est plein d’amour, et ça fait du bien de se vider l’esprit de tous les soucis en plongeant dans de jolies histoires d’amour, même si, à certains moments, les tournures de phrases pleines de bons sentiments m’ont fait sourire.  Faut pas pousser hein, parfois.

Rendez-vous le mois prochain pour un nouveau livre, cette fois je tenterai une autre collection, policier, historique, passion, sexe… à voir !

Bon, y’a juste deux trucs qui m’ont fait rire :

Dans le premier livre, cette expression « en voyant sa persistante protubérance sous sa légère blouse de chirurgien », jolie tournure pour parler de… enfin, vous voyez quoi, de « bandage », pour rester dans un terme médical, mouahaha.  J’ai bien ri.

Dans le second, l’enfant s’appelle Phylis… et je me suis dit « si Phylis tombe malade, ça va compromettre la jolie histoire d’amour ».  Oui, bon, je sais, c’est nul, mais tout de même quoi, pas un super choix de prénom, du moins pour la version française.