Cela pourrait peut-être marcher si nous positionnions cette deuxième candidature comme celle de Jeux Olympiques « recyclés » caractérisés par des dépenses minimales absolues et quelques profits garantis pour la communauté qui les organise. Le problème avec tout cela est que des « J.O. raisonnables » pourrait s’avérer comme une proposition bien difficile à vendre auprès du siège du CIO à Lausanne, en Suisse, où un cout faramineux de quelques 33 millions de dollars pour les prochains Jeux de Sotchi ne semble choquer personne.
Cela dit, une proposition de Jeux « économiques » vaudrait le coup d’être tentée, ne serai-ce que comme un ballon d'essai, destiné à mesurer la pureté des intentions du CIO ?