l'Editeur, 200 pages, janvier 2012
![sur le cite de l'éditeur L'Editeur : Zanzaro, le clownesque héros de ce roman, qui n’est autre que l’auteur, nous invite à le suivre dans ce cirque qu’aura été sa vie. On y croise Françoise Sagan, Liz Taylor, Viva Superstar et Derrida. On découvre avec lui les peines mais aussi les joies que cause sa maladie : la psychose maniaco-dépressive. Comme autant de pop-ups surgies sur un écran d’ordinateur, les bribes du passé s’imposent à son souvenir. Le lecteur l’accompagne sur la piste d’une existence consacrée à l’art : à la musique, à l’écriture, à la musique de l’écriture… Le livre tout entier est porté par le ton bouleversant et le sens de la dérision de Jack-Alain Léger. sur le cite de l'éditeur L'Editeur : Zanzaro, le clownesque héros de ce roman, qui n’est autre que l’auteur, nous invite à le suivre dans ce cirque qu’aura été sa vie. On y croise Françoise Sagan, Liz Taylor, Viva Superstar et Derrida. On découvre avec lui les peines mais aussi les joies que cause sa maladie : la psychose maniaco-dépressive. Comme autant de pop-ups surgies sur un écran d’ordinateur, les bribes du passé s’imposent à son souvenir. Le lecteur l’accompagne sur la piste d’une existence consacrée à l’art : à la musique, à l’écriture, à la musique de l’écriture… Le livre tout entier est porté par le ton bouleversant et le sens de la dérision de Jack-Alain Léger.](https://media.paperblog.fr/i/532/5323109/lu-zanzaro-circus-1-windows-passe-surgies-lou-L-jSpxHF.jpeg)
Bingo une fois de plus, j’ai tiré un bon lot : il est pas beau ce titre, elle est pas belle cette jaquette ? Sinon, non, je ne savais rien d'avance sur Jack-Alain Légerlien, n’avais rien lu de lui. Je découvre seulement maintenant qu'il a mon âge à peu près, et qu’il écrit et publie depuis plus de quarante ans !
Commencer une note de lecture par un avertissement, genre :
— attention, le plaisir de lire ce roman se mérite...
C'est pédant, imbécile et snob, pardon. Autrement dit, je préviens qu’il faut s’accrocher un peu quand même, pour y goûter. D’un autre côté si je me lance direct dans la description énamourée du style de Jack-Alain Léger, certains vont prendre peur, fuir, et ne pas revenir.