l'Editeur, 200 pages, janvier 2012
Bingo une fois de plus, j’ai tiré un bon lot : il est pas beau ce titre, elle est pas belle cette jaquette ? Sinon, non, je ne savais rien d'avance sur Jack-Alain Légerlien, n’avais rien lu de lui. Je découvre seulement maintenant qu'il a mon âge à peu près, et qu’il écrit et publie depuis plus de quarante ans !
Commencer une note de lecture par un avertissement, genre :
— attention, le plaisir de lire ce roman se mérite...
C'est pédant, imbécile et snob, pardon. Autrement dit, je préviens qu’il faut s’accrocher un peu quand même, pour y goûter. D’un autre côté si je me lance direct dans la description énamourée du style de Jack-Alain Léger, certains vont prendre peur, fuir, et ne pas revenir.