En ce 1er mars 2012, mois de la guerre (le retour des beaux jours marquait le début de la période des guerres chez les romains) Foin! Soyons autres
et célébrons Vénus, nos femmes qui donnent vie : car si l’on en croit les oracles très informés: c’est le der-des derniers : décembre 2012 la Fin du monde ! Donc, grâce à Etienne Mercier, Directeur Adjoint du département Opinion Ipsos Public Affairs,[1] dans son enquête réalisée pour Le Magazine me confirme bien que : je fais
parti des 56% d’hommes qui aime les femmes brunes, yeux noirs, pulpeuses. Yes, c’est vrai ! Je vous adore jolies brunettes à vous croquer toutes entièrement et toutes crues, à vous
léchouiller jusqu’à l’os, à vous... Et Bien plus
encore!
D’ailleurs ma projection, mon idéal féminin de
référence est : Louise Brooks, Yes ! Et j’assume ma
Brookiliphilie !
http://www.youtube.com/watch?v=AfW6uSydFYU
Haaaaaaa,
LOUISE… hahaaaaaaaaaa_ouuuuuuuuuuuuuuu ! Haaaaaaaaaa !
Dire ton nom déjà me rend tout chose nerveux… Née le 14 novembre 1906… Tu n’aurais jamais dû mourir en 85. Etre la femelle éternelle car tu avais tout : la beauté assassine, la grâce meurtrière, la sensualité à tomber par terre et surtout- surtout, une
intelliggence suraigüe bien au-delà de tout QI.
Tiens !
Me référant au livre Lulu in Hollywood écrit par Lotte H. Eisner critique de cinéma quidécrit sa première rencontre avec Louise lors du tournage à Berlin en 1927 de
Diary of a Lost girl sous la direction du réalisateur Allemand G.Pasb (qui par la suite
deviendra son mari) : « Pasb me présenta l’héroïne du film, une jeune fille Américaine d’une beauté fascinante, elle était assise et lisait une
traduction de Schopenhauer, “Essay”. Bien sur je pensais que c’était un truc publicitaire inventé par Pasb, car il était connu que je possédais un Doctorat en Littérature. Malgré tout, je
devenais de plus en plus intriguée par le pouvoir presque magique qui émanait de cette étrange jeune femme. J’observais le travail de Pasb, et tombais sous le charme de Brooks; une curieuse
mixture de passivité énigmatique et de présence. »
Je continue de citer Lotte Eisner. Vous conviendrez
qu'il n’y a pas mieux qu’une autre femme pour « lire » une de ses sœurs lorsqu’il y a admiration : « Ces impressions revinrent bien plus tard en 1952 alors que je préparais mon documentaire “L’écran Démoniaque”. Quelques temps après je rencontrais à nouveau Louise
Brooks à la Cinémathèque Française de Paris et ne pouvais résister à l’envie de lui demander si vraiment elle lisait le livre de Schopenhauer quelle avait en mains. Elle l’avait lu ainsi que
Proust et bien d’autres. Cela m’apprit à admirer sa capacité étrange d’être une créature de rêve tout en étant d’une intelligence aigue. Nous devines amies, et lors de la conclusion de
mon Documentaire “L’écran Démoniaque” je ne pouvais ne pas mentionner “Qu’aujourd’hui on sait que Louise Brooks n’est pas seulement une personne ravissante, mais surtout une grande actrice dotée
d’une incroyable intelligence. »
De faire parler Lotte
Eisner est la meilleure manière de faire comprendre qui était Louise Brooks : un être pour son temps « paradoxal. » De
Street of Forgotten Men (1923) à Overland Stage Raiders (1938) Louise Brooks a tournée dans seulement vingt quatre films. Sa vraie carrière se situe pendant l’époque du cinéma
muet où sa présence magnétique a fait entrer dans le Golgotha de l’histoire du cinéma The Pandora Box - film Allemand de 1929 par G.W Pasb : dans ce film Louise Brooks interprète le premier rôle de lesbienne au cinéma.
Loulou dans Pandora box est une jeune femme qui ne s'encombre d'aucun préjugé, vivant pour l'amour et le plaisir et ayant même une liaison avec une femme.
Le film est une adaptation de deux pièces de théâtre du dramaturge allemand Frank Wedekind. Le film est connu sous le nom de Loulou et non par son titre original. Ce dernier est en rapport avec la plaidoirie de l'accusation lors du procès de Loulou,le procureur l'accusant d'avoir ouvert la boîte de Pandore libérant tous les vices de la terre. Le rôle de la Comtesse est considéré comme étant le premier personnage lesbien de l'histoire du cinéma.

[1] http://www.ipsos.fr/ipsos-public-affairs/actualites/hommes-preferent-brunes-mais-femmes-n-y-croient-pas
