Petit Cadeau pour le week-end ! (roman gratuit)

Vous cherchez un peu de lecture ?

Vous ne pouvez pas patienter jusqu’à la sortie de mon prochain roman Pluie de Corps chez Numériklivres (dont je n’ai pas la date de sortie, alors forcément, c’est plus long ! )

Je vous offre Fugues en téléchargement gratuit au lieu des 2,99€ qu’il coûte habituellement, sans inscription (pour les paranos comme moi ), tout le week-end, c’est à dire jusqu’à lundi 5 mars au matin quand je me réveillerai (ce sont les vacances, donc vers 10-11h)

Voilà, c’est simple, il suffit de cliquer sur le lien qui vous convient et boom ! Vous l’aurez ! (ou vous cliquez avec le clic droit de la souris et faites « enregistrer la cible du lien sous »)

Liens désactivés (et oui, on est lundi !)

Résumé :
Un homme seul arrive dans un petit village. Il achète une vieille bâtisse inaccessible, tout au bout d’un sentier tortueux. En cash et sans la visiter. Il possède un sac rempli de billets de banque et un autre rempli de vêtements. Il ne possède rien d’autre, il ne veut rien d’autre. Dans la bâtisse, il y a eu des morts.
A des kilomètres de là, en banlieue parisienne, une adolescente a disparu…

Ce roman, tour à tour lumineux et sombre, oscille entre le polar, le roman psychologique et l’histoire d’amour impossible.

Critiques du livre :

Par Jean-Charles Gomot

Je ne vous raconterai pas ici comment l’histoire se finit mais elle m’a tenue en haleine jusqu’au bout. [...]

L’écriture est fluide, on ne s’ennuie jamais. Des personnages un peu décalés comme Tom ou Yann entreront dans cette histoire et viendront donner du ressort à cette histoire.

Ce n’est pas un livre drôle, il est quelquefois dérangeant mais c’est un livre qu’il faut lire et que j’ai eu un immense plaisir à découvrir. [...]

C’est une de mes premières lectures en numérique et c’est justement pour lire ce genre d’oeuvre que j’ai acquis une liseuse. C’est confortable, agréable, maniable, enfin Nickel !

(à lire en entier ici – attention spoiler)

Par Louisette

On ne verse pourtant jamais dans le harlequin.
Il s’agit plutôt d’une histoire d’amour tragique, le genre d’amour impossible et dérangeant. Il faut passer un a priori difficile et inculqué par notre morale aseptisée pour vraiment entrer dans l’histoire, mais ça fait réfléchir sur notre moralité.
Dans ce roman, rien n’est beau ou gentil malgré l’aspect « Petite Maison dans la prairie » qui hante cette ferme abandonnée : l’amour commence mal et ça ne s’arrange pas, un peu à la Roméo et Juliette.

(à lire en entier ici)

Par ma cousine toujours en vadrouille :

J’ai adoré, ça te dérange pas que je le laisse à Shangaï si j’ai plus de place dans ma valise?

(elle a embarqué le seul exemplaire papier que j’avais… )