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Repos hivernal ...
Publié le 24 février 2012 par StephanebigeardVACANCES...
... ce mot vient du latin "vacare".
Ce qui veut dire faire le vide!
C'est donc ce que je vais faire pendant une bonne semaine ...
profitant d'une météo, pour le moins, hivernale... neige et soleil ... magnifique !!
D'ici là, libre à vous de vous balader sur ce blog
pour découvrir des billets que vous n'auriez pas lus...
ou encore, oser vous plonger dans des rubriques qui vous sont moins familières...
Vous pourrez même, si le cœur vous en dit...
... laisser un commentaire sur l'article que vous avez préféré depuis cet été, date de notre dernière interruption !
Avant de vous quitter cette belle philo-fable...
Il était une fois un vieil homme qui vivait seul avec ses trois fils.
Avant de mourir, le vieil homme appela ses fils et leur dit :
"Je ne peux pas diviser en trois ce que je possède.
Cela laisserait trop peu pour chacun d'entre vous.
J'ai décidé de donner tout ce que j'ai à celui qui se montrera le plus intelligent.
J'ai posé sur la table une pièce de monnaie pour chacun de vous.
Prenez là.
Celui qui, avec cette pièce de monnaie, achètera de quoi remplir la maison aura tout ce que je possède".
Aussitôt, les trois fils prirent leur pièce et partirent chacun dans une direction.
L'aîné se rendit dans une ferme et il acheta de la paille.
Il rentra chez son père, mais avec sa paille, il ne parvint à remplir la maison qu'à moitié.
Le deuxième fils se rendit au marché, et il acheta des sacs de plumes.
Il rentra chez son père, mais avec ses plumes, il ne parvint à remplir la maison qu'à moitié.
Le plus jeune fils se rendit à la ville et n'acheta qu'un seul petit objet, un objet minuscule qui tenait dans sa main. C'était une bougie.
Il rentra chez son père, il attendit la nuit et il alluma la bougie.
Soudain, la maison fut remplie de lumière. Le lendemain, le père donna à son plus jeune fils tout ce qu'il possédait, et il lui demanda de prendre soin de ses frères après sa mort.
Joyeuses fêtes de Noël !! Bonne fin d'année !!
Allez, au plaisir de "faire le vide" ...
Stéphane Bigeard