Sauf que certaines choses sont irréparables. On a beau faire, on a beau dire, irréparables. Comme des miroirs brisés, qu’on peut recoller tant qu’on peut, avec la meilleure superglu du monde. En vain, les traces restent visibles, on ne recolle pas un pot cassé, comme dit l’adage.
Aujourd’hui, donc, il faudrait réparer. Il faudrait, mais je n’en ai plus envie. Plus l’énergie. Plus la volonté. Alors tout restera cassé. C’est mon choix. Na. Et basta.
Et hop, à la poubelle, mon verre Mickey.