Ce matin, sur le chemin du bureau, une odeur que je connais par cœur : celle du lapin de bon-papa. Odeur que je n’ai plus dégustée depuis genre quinze ans, mais qui est restée dans mon cœur, par cœur, avec son odeur de lardon, d’oignons entier moelleux, tant d’année plus tard.
Comment une telle odeur peut-elle traîner en rue un matin à 7 heures, no idea. Illusion olfactive ? Mirage du passé ? No lo sé.
Mais dis-moi, bon dieu, là-haut, tu mets des cuisines à la disposition de tes hôtes, histoire que je prépare déjà mon estomac ?