L’aube précède l’éveil, De la course du soleil,
Souffle à l’heure brûlante,
Des mots perdus sans attente.
Les lames de lumières,
Constellations fières,
Libèrent l’eau et le cours,
Arpèges d’un nouveau jour.
Le torrent coule paisible,
Nourri de tous ces possibles,
Chante les notes cristal,
D’un nouveau rêve abyssal.
L’aube précède l’éveil,
Caresse au cœur du sommeil,
Hors les chemins de paresse,
Conte sa douce promesse.
Crédit photo : Koan/FlickR
