Vous le savez, je pianote, très mal, mais je pianote. Et je continue à apprendre, petit à petit, sur Je joue du piano, tant bien que mal, plutôt mal que bien d'ailleurs (me faut absolument un brun ténébreux pianiste, ça aidera).
Et un matin, y'a déjà bien deux ans, j'en ai peut-être parlé ici à l'époque, j'avais un air en tête. Scotché, englué, impossible à faire partir. Il est resté dans ma caboche durant deux jours, sans que je trouve ce dont il s'agissait, puis j'ai tenté de le chanter à des collègues, ce n'était pas gagné vu mon talent de chanteuse digne de la Star Ac 2478. Maist une mélomane a reconnu "Jésus que ma joie demeure", que je me suis fait une joie (ah ah ah) de trouver sur le net, en partition version débutante ascendant incompétente, pour l'apprendre.
Et là, je découvre, via Christian Delwiche, personnage mythique namurois, gérant le site Bia bouquet, qui est d'ailleurs le nom du répertoire donné à toutes les images que j'utilise sur ce blog, car la première venait de son site, ô hasard, cette version magique, que j'avais envie de partager :