Au Vagin...
… Sur les brindilles de mes doigts s’enflamment l’absolu de mes nerfs. Je caresse tout
en rond. Doucettement. De haut-en bas, tout en tournant. Les poils de son Vénus - Deux lèvres s’entrouvassent qui acceptent ; Elle s'entrebâille les jambes, souffle et regarde vers les hauts de mes yeux ; ainsi doucettement, ainsi s’écoule le liquide graissant blanc… Son souffle va plus vite, ainsi, sa voix qui monte… Qui monte si Haute ! De sa rose bouche, de sa fleur d’écarlate afin de capter cette verticale ombragère de deux lèvres qui en fait ne font 4.
Avec ces intérieurs ; d’amour jetant son fleuve livide d'incessant : Je me ressens d’ailleurs à l’épar d’avant-gout salin qui ne s’écarte point de la mer nourricière qui s’entrouvre pour m’accueillir ; Les mouettes sifflent sous les bises salines et ces bouchées captées d’eaux si-clairées - Irriguent de ce Paon nerveux, à mille plumes, de ces roues de torture, comme des croix d'enclouées - Adressées à ces bourreaux posant tête-bêche telle une entrée d’absolue de sangsue ; Montantes ! Ma langue se fait mer, ma langue va ! Et mon vis va aussi, vers des bois de souffrance s’enfonce à l’intérieur d’un mat mordoré, d'un couloir adoré... Mais ouverts à tous vivats d’assemblée de la viande et passionnée qui condamnent ; Ne pouvant que donner que leurs chairs, leurs entrailles. A mes foisons s’itère… Gueulantes : Allez braves gens, mangez ! Bouffez et sucez encore ce qu’il y a de plus chaud ! … Nos pamoisons Vaginales… Jusqu’à l’explosion d’infinie !
Jouissaceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !
MERCI Zaux Femmes!
Georges Zeter/Mars 2012