L'homme qui faisait tous ses dessins "Parker" et "par coeur" aussi...
Je l'avais écouté alors, l'ai ré-écouté avec plaisir : voix posée, déliée, recul enjoué sur la vie, le parcours. La fin de l'interview, la minute de silence surtout, m'avait marqué, cet exercice si difficile et qu'il aura géré avec maestrio et surtout avec une clarté de vue sur l'étrangeté "futile et profonde" de l'exercice de l'interiew.
Lisons, lisez, relisons, relisez Jean Giraud, alias Moebius (tant qu'à faire, je recommande ses 40 jours dans le désert, une expérience à part...)
Un peu étrange tout de même, la voix d'un désormais mort si vivante dans la pièce.