Une information délirante, bien qu’aujourd’hui plus rien ne
devrait nous étonner, nous révèle que la boisson Pepsi contiendrait des
fœtus humains censés relever le goût du célèbre breuvage. La société
moderne, avec ses soi-disantes valeurs de progrès et d’humanisme, nous
ramène véritablement à l’état de bête, de créature dégénéré.
Le cannibalisme dans l’agro-alimentaire est assez répandu, nous en
avons vu d’ailleurs les conséquences catastrophiques lors de l’épidémie
de vache folle. Lorsque l’homme détourne et pervertie la nature et son
harmonie, création parfaite de Dieu, le retour de boomerang n’est jamais
très loin.
Ainsi donc, un esprit saint dans un corps sain nécessite de prendre
des distances, autant que possible, avec le monde moderne et ses
séductions.
Généthique.org
– Le 26 janvier 2012 à Chicago, Ralph Shortey, sénateur d’Oklahoma, a
déposé une loi visant à interdire l’utilisation de fœtus et de cellules
embryonnaires humaines dans les aliments. D’après une enquête menée
depuis un an, des entreprises utiliseraient des “cellules souches embryonnaires humaines” et des “reins de fœtus avortés” comme “exhausteurs de goût” de saveurs artificielles.
Déjà accusée il y a un an par des groupes américains pro-vie, la société
Pepsi est soupçonnée d’avoir recours à de telles techniques, que le
sénateur a d’ailleurs qualifiées d’ “immorales” et de contraire à l’éthique. Si l’entreprise américaine a rejeté ces accusations via un communiqué, affirmant que “Pepsico ne conduit aucune recherche utilisant des tissus humains ou des cellules issues d’embryons“, de son côté l’agence américaine du médicament et de la sécurité alimentaire (FDA) a préféré garder le silence.
Enfin, le texte proposé par le sénateur Ralph Shortey précise que “nulle
personne ou entité ne doit pouvoir fabriquer ou vendre, en connaissance
de cause, de la nourriture ou tout autre produit destinés à la
consommation humaine contenant des cellules de fœtus humains avortés ou
ayant impliqué des fœtus humains avortés dans la fabrication de ces
aliments“.
AFP 26/01/12
Source: Généthique.org
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