- Trop tard, je ne maîtrise plus mes pulsions, l’animal crie en moi
- On coule comme le Titanic, mais au moins eux avaient de la musique pour accompagner le mélodrame (ouvrage dramatique dans lequel sont accumulées les situations violentes et les péripéties imprévues)
- Regarde dans mes yeux tu me verras, regarde dans mon cœur tu t’y verras
- Pourquoi pleurer ?, tu ne mérites pas que j’en abime mon maquillage !
- Tu m'as appris à t'aimer, maintenant apprends-moi à t'oublier
- j’ai été battu au jeu de l’oie par une canne, une poulette dinde
- quel bonheur que tu sois là, quel malheur que de te voir
- les cheveux frisés du Diable
- une raison intéressante de ne pas être intéressé
- qu’est-ce qu’on fait maintenant ? Je ne sais pas, on fait rien, on en a déjà assez fait, arrêtons les dégâts
- la peur ne peut arrêter ton amour, l’amour peut arrêter ta peur
- Pourquoi tu dis ça ? T’inquiète pas, je suis au courant ! Pourquoi tu me demandes alors ?? Juste pour l’entendre de ta voix, par toi !!!
- Comment il est ? Je ne sais pas, j’ai jamais eu à le décrire avant !
- À propos, tu avais raison, et tu tombais bien à propos ! À propos de quoi ?? À propos de tout !!!
- Les humains n’acceptent le changement que dans la nécessité et ne voient la nécessité que dans la crise
- on va suivre au pied de la lettre tous les panneaux "Cédez le massage" et "Sens inique/cynique"
- arrête, tu vas rayer tes chaînes
- Il peut encore gagner, même s’il ne part pas favori
- Thermomètre qui donne la fièvre à force de se le carrer profond dans le fion
- Qui inquiète et fascine à la fois
- L’Art de la Rébellion
- ça lui arrivait d’en parler mais je ne prenais pas au sérieux ce qu’il disait
- si je n’ai pas été un bon père ça vient surtout que je n’ai pas eu un bon père, parce que j’étais un mauvais garçon
- le meilleur X de ma vie … pour l’instant
- je suis contre le suicide, mais si tu voulais essayer ça pourrait peut-être me distraire
- la seule façon de gagner est de ne pas jouer
- la vie nous pousse à oublier/renier nos désirs/rêves
- 50% généreux, 50% égoïste, mais les pourcentages ne concernent pas les mêmes choses
- je n’en ai plus rien à foutre de moi, faites-en donc ce que vous voulez
- il y a toujours du soleil derrière les nuages
- un long cycle interrompu de
- tu joues avec ma zenit(h)ude, avec mes nerfs vé
- alliance parfois délicate mais toujours nécessaire car je te suis indispensable
- Légère par sa robe, goûtue, onctueuse, duveteuse par ses rondeurs
- Magne-toi de jouir, j’ai mal aux mâchoires
- Non non non, n’arrête pas, c’est trop bon
- si l’organe génital est le sexe, l’organe sexuel est le cerveau
- tu es la plus grande déception de ma vie
- le nombre de princes charmants est strictement proportionnel à celui des princesses pures et innocentes
- ensemble nous allons faire de grandes choses, si entre-temps on ne s’est pas entretués
- envoie-moi un signe, ou une raison, voire un prétexte
- proposition indécente … à moins que
- Là où y a du béton nous grafferons
- Décrocher la timbale : Obtenir une chose disputée, un résultat important ; S'attirer des ennuis à force de maladresse. Il n'y a encore pas si longtemps que ça, il était d'usage, dans certaines familles et lors d'une naissance, d'offrir au nouveau-né, outre sa gourmette en or, une timbale et un coquetier gravés à son nom, le coquetier étant un modèle réduit de la timbale (gobelet de métal sans pied). Venons en maintenant à une autre tradition quasiment disparue dans nos contrées : le mât de cocagne, ce poteau, au sommet duquel on fixait quelque chose comme une roue de charrette à laquelle on suspendait des objets divers et des victuailles, avant de l'enduire de graisse ou de savon, puis de le planter verticalement. Le jeu consistait alors pour les volontaires à grimper au mât, atteindre le sommet et décrocher ce qui était à portée de leurs mains. Bien entendu, le fait que le poteau soit très glissant rendait la tâche très difficile voire impossible. Celui qui arrivait à décrocher quelque chose pouvait se féliciter de la chose, il avait obtenu un sacré résultat. Et parmi les objets qu'on pouvait fréquemment trouver au sommet du mât, il y avait une timbale ou un coquetier.
- Comme les élections, la vérité/surprise arrive à la fin
- J’étais dans le coup et ils ont changé ce qui était dans le coup, ça me fait peur
- je suis flapi de ces conneries : Extrêmement fatigué, abattu. Mot fr.-prov. dér. d'un adj. flap « qui est flétri », altération du lat. médiév. faluppa « balle de blé » (Xe s.)
- c’est comme Woodstock, mais avec moult pubs, interdictions et sécurité
- c’est aussi fastoche que de déprimer un jeune ou de voler sa canne à un aveugle, même si ça l’ait moins que de voler sa sucette à un enfant
- d’abord distraire, quelques fois sensibiliser
- soit t’y prends part soit t’es qu’un ringard
- il est tout puissant : tout le monde le salue, lui personne
- il s’est réveillé très utile mais on n’avait plus besoin de personne
- je crois en votre arrogance, non en votre puissance
- tricherie et trahison, traités et traitrises
- à la 1ère trompette fais mine de perdre, à la 2è part à la conquête
- si nous en avions quelques-uns comme lui Rome pourrait conquérir le monde une deuxième fois
- capable de tout voir sans être vu
- c’est probable, mais pas sûr
- du plomb dans l’aile, pas plus dans la cervelle
- pourquoi ? Je ne peux pas le dire ! Où ?? Il vaut mieux que tu ne le saches pas !!!
- La transition dans la continuité, voire l’inverse
- La tactique compense l’énergie et le courage
- tes chansons déprimantes ont cassé les rêves de mes enfants, que je ne pouvais pas leur offrir
- ce qui est marrant est ce qui est différent, qui sort de l’ordinaire
- clampin : Celui qui traîne à la queue d'une troupe, d'un groupe en marche
- est-ce qu’il faut vraiment que tout le monde soit au courant ?
- tout le monde a des histoires à raconter, c’est juste qu’on a pas le temps de les écouter
- ravi d’aller en enfer, si je t’y ai envoyé avant
- si c’était le cas tu serais plus là
- voir ce que je voulais regarder, pas ce que tu voulais me montrer
- Dans une histoire d’amour y a pas de prescription, tout est compté à perpétuité
- Les impatientes fleurissent en juin (Impatiens, genre regroupant 800 à 900 espèces de plantes herbacées appartenant à la famille des balsaminacées)
- La déception, ce court instant fatal où l’espoir meurt
- Je tiens pas à me fâcher, on n’était pas obligé d’en arriver là mais je vais le faire
- Chaque fois que tu pars je me sens abandonné
- C’est ce que dis ta bouche, mais mes yeux sont assez malins pour ne pas la croire
- le suicide est un choix délibéré pour se Libérer/délivrer de la vie
- pas de messe-basse sans curé (depuis le milieu du XVIIe siècle, une messe basse, par opposition à une grand-messe, est une messe non chantée, où le prêtre récite les prières. Selon Alain Rey, cela vient du fait que, lors d'une véritable messe basse, le prêtre marmonne des paroles indistinctes qui ne semblent pas destinées à être entendues par l'assistance, exactement comme le sont les paroles échangées par ceux qui disent des messes basses).
- Je me sens très bien, c’est mon cœur qui est fâché
- Même quand tu n’étais pas là je me sentais bien car je savais que tu étais quelque part, pas loin de mon cœur
- Tant que c’est pas pire ça me va comme ça
- Des contacts amicaux et courtois, enfin, plus courtois qu’amicaux
- Le désir c’est savoir faire attendre, faire prendre son bien en patience
- Réalité crue d’une nuit sordide
- Ton heure arrive, à toi de décider la fin
- Ne dis rien, parfois (et avec toi souvent) c’est mieux comme ça
- Je vais par là, ne te sens surtout pas obligé de me suivre
- Je lui donne argent et logement, elle remplit la maison de braiements
- Par la grâce des Furies, je te maudis (divinités romaines persécutrices, correspondant aux Érinyes grecques)
- Je me serais coupé les mains pour ne pas y toucher
- Je t’ai promis une perle, en voici déjà l’écrin
- C’est le plaisir que tu lui donneras qui la rendra belle
- Un mariage (mal) arrangé peut gâcher une vie, comme si j’avais besoin de ça
- le mariage d’abord, l’a/A-mour on verra ça ensuite
- je ne l’aimais mais je la pleure quand même
- perdre son âme en elle
- personne ne voit au fond de toi le noir de ton désir
- j’en ai les poils du nez qui s’hérissent
- le seul antipoison est l’amour
- ton doux parfum envoûte mes sens et endort ma raison, il m’embaume
- une oasis où j’aime à tremper mes babines
- Carabistouilles, calembredaines, galéjades : blague, farce
- La chorale est la partie la moins déprimante de la religion, surtout en mode gospel (de l’anglo-saxon godspel (« nouvelle de Dieu ») contraction de good et de spell, calque du latin evangelium emprunté au grec ancien εὐαγγέλιον, euaggélion (« bonne nouvelle »).
- Ma mère est morte, mon père reste là, que peut-il m’arriver de pire ?
- Le XXIè siècle est arrivé plus vite que prévu
- Il est ailleurs en étant las
- Ne pas regarder l’avenir dans le rétro
- Je suis mon frère jumeau disparu depuis longtemps
- Il agit plus qu’il ne réfléchit
- Mieux vaut n’y rien entendre du tout qu’être moyen, les cimetières en sont pleins (soldat)
- Mettre deux loups dans la même cage est néfaste pour les deux
- J’adore quand mon plan perfide se finit bien, sans accroc
- Même pour sauver ma propre vie je n’y mettrais pas ce prix-là
- il y a des jours où il fait trop nuit
- ris de tes malheurs et la vie te souris
- c’est pas un miracle ni même de la sorcellerie, c’est de la magie
- Caustique (qui est cinglant, blessant dans la plaisanterie ou la satire) et costaud, il a tout pour la Cause
- Les esclaves rêvent de courage comme les poissons de voler
- En échange de ma générosité, je compte sur ta loyauté
- les abeilles ne sont pas attirées par le miel, elles le font
- j’adore le fond, j’adhère moins sur le forme
- Qui es-tu et que veux-tu/faisais-tu ?
- Conseille-moi au lieu de me voir déjà foutu
- pourquoi tu pars, t’es pas heureux ici ? Si, trop !
- lui rendre sans lui donner
- un travail si bien payé est forcément malhonnête
- l’empalement est le fondement [1119 fundement « anus » ; 1174-76 p. ext. « base, ce sur quoi repose quelque chose ») de la torture {exécution barbare, dont les premières représentations viennent d'Assyrie, où elle constituait un supplice fréquent des homosexuels : la victime était empalée juste en dessous du sternum sur un pieu (désigné alors par le terme "pal") planté à la verticale, puis laissée telle quelle jusqu'à ce que mort s'ensuive, la personne se faisant lentement transpercer sous l'effet de la gravité. Toutefois, la méthode la plus répandue et dont il existe des traces en Russie et en Turquie voulait qu'on enfonce le pal dans l'anus du condamné, avant de le planter en terre. La cruauté du supplice était modulée par le degré d'acuité de la pointe, la taille du pieu, et la profondeur à laquelle on l'enfonçait. Le plus fréquemment, la pointe était arrondie afin de repousser les chairs sans les léser, afin que le supplice dure le plus longtemps possible. Elle ressortait par le thorax, par les épaules ou par la bouche, en fonction de la direction donnée. Le but était d'apporter une frayeur maximale aux spectateurs)
- je préfère mon bonheur à ma richesse
- il y a des gens pour qui l’argent est comme un film russe sans sous-titre
- la différence entre un truand et un escroc est que ce dernier n’a jamais pris d’argent qu’aux cupides et faibles alors que le premier ils le lui donnent directement
- la route sera longue et difficile mais je n’ai pas peur avec toi
- le plus mieux est qu’au moins un de nous deux soit heureux
- elle est si sombre qu’on remarque à peine les tâches
- si ça peut te consoler, je suis assez désolé
- Arlésienne : tout le monde en parle, personne ne l’a jamais vu
- Le grand Amour existe-t-il ? Oui, je ne l’ai pas encore rencontré, mais je suis sûr qu’il est là, quelque part, bien caché, à l’abri
- Ma chair est faible … et la sienne chère
- Au premier rendez-vous on ne sait rien et on espère tout
- Une phrase, deux conneries : t’es bien partis
- Si elle ne veut pas de moi, qu’elle ne passe pas à la casserole, je paye peut-être l’addition mais aucun des deux n’aura de dessert
- J’ai comme un doute, si près/prêt du/au bonheur
- Elle te fait des yeux de veau au dîner pour finalement se révéler être une peau de vache après avoir couché sur une peau de bête devant la cheminée
- J’ai pas senti beaucoup d’enthousiasme
- On crève l’abcès, on fait un break, on passe à autre chose
- C’est que du bonheur, ou presque … si je veux
- Pleure pas, j’ai encore rien dit
- Je ne suis jamais ami avec une fille, sauf si elle est moche
- monter en Seine
- si j’ai pas l’air d’un méchant c’est juste que je fais bien semblant
- t’es pas un méchant, juste un type pas très bien
- quand on veut nager faut savoir se mouiller
- Les allergies sont là comme les hirondelles, même si une seule ne fait pas le printemps
- C’est sain d’écouter sa peur, sinon on ne survivrait pas
- Moins tangible mais pas moins marqué
- Que ce soit vrai ou pas, ça aurait pu et dû être vrai
- Une vie qui se vide
- T’as pas tout de l’original, mais l’essentiel et même des trucs en plus
- c’est pas l’ennemi, c’est l’incongru, l’inconnu pas invité
- je ne trouverai jamais mieux/meilleur que toi maintenant que je n’en ai plus besoin
- Viens à nous, toi que nous attendons
- X les a peut-être oubliés, mais eux n’ont pas oublié X
- C’est un espace public ! Ça dépend du public !!!
- L’alcool et les drogues au sens large sont les seuls compagnons acceptés dans la solitude
- Ma mère ce héros
- Je laisse le sort en décider car je n’en suis pas capable
- J’ai tout essayé, sauf erreur ou omission
- Je suis d’une nature excessive : quand je fais je fais trop (sinon je fais rien, du tout)
- Moi je baise avec tout seul, ou des fois la veuve Cinq me tend la main
- Ou tu l’as ou tu l’as pas, c’est pas un choix
- Une maison qui se lézarde ne peut tenir debout, elle s’effondre si il n’y a pas consolidation des fondations et ravalement de façade
- Franche camaraderie où on s’enfile avant de se dire bonjour
- Ce n’est pas parce qu’elle ne sait rien de moi que je ne veux rien savoir sur elle, au contraire même
- Les femmes d’abord, et leur orgasme avant tout
- Je ne veux pas oublier ! Moi je voudrais bien mais je ne peux pas !!!
- Un auriculaire/petit doigt en l’air, l’autre sur la couture de la braguette {normalement « sur la couture du pantalon » : en manifestant du respect ou de la soumission. Au garde-à-vous le soldat se tient droit, chaque bras le long du corps, et un doigt sur la couture latérale et néanmoins verticale du pantalon de l'uniforme. Cette position raide est celle dans laquelle il manifeste du respect au supérieur qui est devant lui}
- On m’a donné la voix, je veux non seulement parler mais aussi crier/hurler
- Ne pas bannir/haïr la haine, l’utiliser pour la bonne cause
- Victoire en demi-teinte pour X, échec relatif pour Y
- Une victoire à la Pyrrhus est une victoire avec un coût dévastateur pour le vainqueur. L'expression est une allusion au roi Pyrrhus Ier d'Épire, dont l'armée souffrit de pertes irremplaçables quand il défit les Romains pendant sa guerre en Italie à la bataille d'Héraclée en 280 av. J.-C. et à celle d'Ausculum en 279 av. J.-C. À chaque victoire de Pyrrhus, les Romains perdaient plus d'hommes que lui mais ils pouvaient facilement recruter de nouveaux soldats ; leurs pertes affectaient donc beaucoup moins leur effort de guerre que celui de Pyrrhus.
- Je n’aime pas vraiment, mais je laisse faire
- Quoi, qu’est-ce qu’il y a ?, y a un truc qui va pas ???
- Les humains aiment abhorrer ce qu’ils adoraient {Avoir pour une personne ou une chose une antipathie telle qu'on ne saurait la voir ou y penser sans éprouver un frémissement et un mouvement tendant à s'en éloigner ou à l'éloigner}
- Comme pieuvre de ma peur, je me suis encré dessus
- Ce n’est pas que la situation soit sans issue, c’est que je ne sais pas quoi faire ni comment m’y prendre
- On est toujours un peu idiot quand on remercie, mais là (autant être) on est naturels
- J’oscille entre désespoir, regret et fureur
- Quand j’ai accordé la main de fille je l’ai enterrée vivante
- On a une fenêtre de tir de lancement de fusée/missile à tête de nœud chercheuse, aucun nu âgé
- Tu ne peux pas comprendre, ça fait tellement longtemps ! Que tu me désires en secret ? Non, que je n’ai pas baisé !!!
- T’as tout oublié ? Non, rien oublié, c’est encore pire !
- Une blonde hitchcockienne
- L’Amour sert surtout à éloigner la Mort
- La valeur sentimentale n’a pas de prix, par contre le prix des sentiments a une valeur
- Il ne s’est pas enfui … comme si j’étais un immeuble en feu !
- Il faut atte(i)ndre la Mort pour se sentir vivant
- Je ne veux pas être piqué comme un vieux chien chez le véto
- On enterre les regrets et les secrets avec le corps
- Sortez les violons, faîtes pleurer vos doigts sur le bois
- Il a été touché par les anges : expression russe pour dire qu’il est illuminé/aliéné
- Trotski Vs Big Brother/Little Father of the Peoples
- Ce n’est pas ce que je dis ! Peut-être est-ce ce que tu laisses sous-entendre !!!