Cloclo qui nous a quitté il y a juste 30 ans, doit se retourner dans sa tombe en voyant Sarkozy pleurer tout seul dans sa salle de bain en chantant du... Claude François, "je suis le mal aimé..." etc.
C'est une histoire tortueuse qui vous prend par les tripes. Elle pouvait être ordinaire mais hélas, non. C'est un conte de fée qui se transforme de plus en plus en cauchemar, malgré les gesticulations de la "petite souris" qui se noie dans le bocal.
A juste titre, l'écrivaine Calixthe Beyala, il y a de cela quelques mois, faisait un portrait sans concession du monarque déchu, que dis-je, du roi hongro-grecque qui parle d'immigration. C'est un paradoxe. Dans ce papier chez Marianne, elle parlait d'une intégration ratée de Nicolas Sarkozy. Il en fait tellement pour se sentir français qu'il casse plutôt tout les codes.
L'histoire tarabiscotée d'un père qui aurait fuiT...le communisme à la fin des années 1940 est amusante et cocasse. Passons.
Quel plaisir j'ai eu à regarder le journal de Poivre d'Arvor, lors de la séquence où un toulonnais disait au chef de l'État que sa ville ne sera pas le lieu d'expérimentation de la politique de Brice Hortefeux.
Quel plaisir j'ai eu en voyant la jeune fille d'un CFA de Vesoul, qui a refusé de lui serrer la main.
Quel plaisir j'ai eu de voir le citoyen lambda mais offensif du Salon de l'Agriculture aka touche moi pas qui, en d'autres cieux d'autres lieux, serait devenu une star.
Quel plaisir j'ai eu en visionnant la mamie qui lui a déclaré une véritable guerre.
Quel plaisir j'ai eu en le voyant mentir à Toulon, sans vergogne, en se déjugeant sur l'implication du président qui voulait pourtant politiser les Municipales.
C'est vrai qu'il y a quand même 80% de français qui désavouent cet homme. Quoi de plus normal ? Je crois que le rêve est terminé et, les français voient un peu plus clair dans le jeu morbide du Roi qui est désormais nu.