Mercredi dernier, le président américain a annoncé le plafonnement à 500 000 dollars (388 600 euros) par an du salaire des dirigeants d'établissements financiers recevant des aides de l'Etat fédéral. Dans La Tribune, Parisot s'insurge :
"C'est le risque que partent des hommes ou des femmes qui sont peut-être pour partie responsables du drame économique actuel. Mais qui sont aussi les plus compétents pour mettre en place les solutions. Il faut laisser à l'entreprise la liberté de fonctionner. C'est à cette condition qu'elle est créative et efficace."Madame Parisot ne voit donc aucun lien entre la débâcle économique créée par certains "responsables" et leurs compétences. Ni entre une aide de l'Etat et une contre-partie. Comme l'écrit un ami internaute :
"C'est un peu comme si vous nous disiez que celui qui a mis la voiture dans le mur est le mieux placé pour réparer la voiture et la conduire à nouveau."En pour se faire payer par le contribuable pour sa créativité et son efficacité. Belle parisottise.