Ceci s'applique autant à la course à pied qu'au ski. Je veux parler de la pratique de la course à pied sur neige ou en terrain accidenté, lorsque le pied atterri dans une condition telle que cela nécessite un ajustement instantané du pied pour adapter l’équilibre du sportif à une situation qui n'est ni souhaitée ni nécessairement sans danger.
Cette réponse s'adresse sans doute à beaucoup d'autres sports dans lesquels les pied et leur contact avec le sol jouent un rôle important. Bien entendu, ceci s'applique dans une mesure encore plus grande à la pratique du ski alpin. Le terrain, qui ne cesse jamais de changer, dicte une réponse instantanée du skieur sachant que ses signaux changent à tout instant.
Avec la préparation méticuleuse des pistes aujourd'hui, ces micros-ajustements sont beaucoup moins nécessaires, mais dès que le skieur quitte ces « tapis » parfaitement lisses, les pieds ont besoin de retrouver ce sens d'adaptation constant tout comme pour les suspensions de voitures les plus efficace qui soient.
Cette compétence ne s'acquiert que par le kilométrage et les heures passées sur la neige et le plus souvent constitue la différence entre le skieur occasionnel et celui ou celle qui est au dessus du lot ...