[ONDE]
Onde onde
sur les cénotaphes
cendres s’abreuvent
à l’âcre des vivants.
Se mirent à bruire
à bruire la cymbale
les parfums des raisins
et des songes
pluie tiède éteignit les lampes
et l’idée nue.
Esther Tellermann, Voix à rayures, Poliphile, 21000 Dijon, 2009, page 16. Avec trois photographies de Stéphane Thibierge.
ESTHER TELLERMANN
■ Esther Tellermann
sur Terres de femmes ▼
→ Carnets à bruire
→ Je t’ai vu (poème extrait de Contre l’épisode)
→ Sûrement je vous tiendrai (poème extrait de Terre exacte)
→ Voix à rayures
■ Voir aussi ▼
→ (sur le site des éditions Poliphile) la page consacrée à Voix à rayures d’Esther Tellermann
→ (sur le site de la Maison des écrivains et de la littérature) une fiche bio-bibliographique sur Esther Tellermann
→ (sur le site de la revue Nu(e)) un extrait d’un entretien d’Esther Tellermann avec Patrick Née
→ (sur le site de la revue de littérature et de critique Le Nouveau Recueil) L’indécise exactitude de la terre : Esther Tellermann, par Michaël Bishop
→ (sur le site du Printemps des poètes) Esther Tellermann disant l’un de ses poèmes (extrait de Encre plus rouge, Flammarion, 2003)
→ (sur Remue.net) François Rannou / « D’où un homme est-il visible ? » | une approche de la poésie d'Esther Tellermann
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