Une autre très bonne raison est le fait qu'il existe toujours des passages assez plats, même dans sur les terrains les plus raides, pour qu'il faille invariablement « faire la trace » pour soi-même et tous les autres usagers. Ce n'est pas que je sois égoïste, mais cela demande beaucoup d'efforts et de temps à brasser toute cette « pouf » à vitesse d'escargot.Enfin, si faire sa propre trace apporte de bonnes sensations, celles-ci sont uniformes et je préfère évoluer sur des pistes avec des traces déjà croisées, offrant ainsi une succession d'accélérations et de coups de frein ; je trouve cela excellent pour affuter mon sens de l'équilibre et m'apporter un élément d’intérêt continu. Des raisons bien valables pour ne pas passer en premier dans la neige vierge !
