Immobilier: Avec un côté esthétique plus élégant et pour plus de chaleur, le bois assure une grande élégance. C’est également un choix qui dépend du goût et même des besoins du demandeur. Mais ce qui est sûr, c’est que les constructions en bois garantissent un développement durable. D’ailleurs, différents parements muraux peuvent s’adapter à ce genre de matériau. Mais revêtir sa maison en bois n’est ne pas chose difficile !
Les parements muraux qui s’adaptent facilement à votre maison en bois
Le revêtement n’est pas uniquement à titre décoratif, il sert également d’isolant et est en même temps garant de l’étanchéité et du confort dans l’habitation. Les différents types de parements abordés ci-dessous sont sélectionnés pour leur efficacité.
- Le revêtement en bois composite est réputé pour sa résistance : elle dure assez longtemps et ne se déforme pas face à l’humidité. Elle maintient la même structure que le bois véritable et affiche la même élégance. Pour prévoir sa dégradation, le bardage doit être entretenu avec une lasure.
- La brique peut également servir de protection et peut s’associer aisément avec le bois pour afficher un cadre traditionnel. Celle en terre cuite présente beaucoup plus d’avantages puisqu’elle réduit les impacts écologiques de la construction et des isolants très efficaces. Leur résistance au feu est également considérable.
- Le bardage en pierre permet d’obtenir une façade et un contexte exceptionnel. Le crépi est également un parement mural très pratique, sa capacité en tant qu’isolant est indiscutable. Sous différents styles et présentation, il permet plus d’aération.
La pose du revêtement sur l’ossature en bois
Le parement mural doit être fixé. Pour ce faire, il faut suivre certaines étapes en commençant par l’installation d’une pare-pluie qui assure une perméance et qui recouvra les joints. Vous devez la choisir en fonction de sa résistance aux intempéries. Pour les fixer, les agrafes et tasseaux peuvent être utiles, mais les papiers adhésifs sont idéals pour cela pour l’efficacité de la procédure.
Le tasseautage est également un point à considérer puisque celui-ci dépend du type de bardage. Une protection verticale par exemple nécessite un double tasseau de support, contrairement à la pose horizontale. Pour les maintenir au pare-pluie, des pointes en acier serviront de fixateur.
La lame d’air, quant à elle, assure l’aération et les échanges de gaz, l’entrée, l’épaisseur et la sortie permettront plus de ventilation. Ce sont des pointes métalliques qui maintiendront les lames bardages. Pour leur fixation, il est nécessaire d’atteindre une certaine profondeur de 10 à 20 mm selon les matériaux utilisés et les conditions d’installations.
Quelques astuces
La pose nécessite souvent des aménagements spécifiques et des fixations particulières selon la procédure choisie. Il faut alors s’assurer d’une menuiserie ainsi que de joints efficaces et résistants. Les ouvertures, défauts de construction et inattentions sont à l’origine de l’insuccès des isolants et des parements et des pénétrations de l’humidité.
Pour ce faire, il faut considérer la perméabilité à l’air, l’étanchéité à la pluie et la résistance au vent. Ces critères sont à déterminer en fonction de l’endroit et des contextes climatiques dans lequel a été édifiée la construction. La position de chaque ouverture et des points de ruptures entre également en cause.