George w. bush : dignite et amour indefectible de la liberte

Publié le 11 avril 2012 par Neoafricain

Tels sont les deux valeurs que m’ont inspiré le discours donné par l’ancien Président américain dans le cadre des activités de sa « GEORGE W. BUSH PRESIDENTIAL CENTER ».

Dignité parce que depuis qu’il a quitté le pouvoir, il a dignement décidé de ne pas critiquer son successeur, et ce malgré les nombreuses critiques que celui-ci lancent à son endroit. Tel un petit enfant qui refuse d’assumer ses responsabilités, l’actuel locataire de la Maison Blanche n’hésite jamais à rejeter la faute sur son prédécesseur.

W. n’est pas de cette trempe-là…C’est ainsi que dans ce speech, il dira « Je ne pense pas que ce soit bénéfique pour un pays de dénigrer son Président ; je n’ai aucune intention de le faire.. ». W. est un vrai leader qui a toujours assumer ses actes et qui, au contraire d’un cynique ou d’un lâche, aime à les expliquer. Jusqu’à aujourd’hui, il parle des vétérans qui ont été blessés dans les guerres qu’il a déclarées quand il était leur Commandant en Chef. Là où les pacifistes auraient pensé qu’il en aurait honte ; W. lui se vante de continuer à fréquenter les blessés de guerre et à faire du sport avec certains des plus marqués.

Quand à son amour de la Liberté, elle reste intacte et totale. « Convaincu que la Liberté est une valeur universelle, qu’au plus profond de chaque être humain, il y a le désir de vivre libre ».

Liberté économique, avec la défense féroce de la libre-entreprise. Condition sine qua non pour une croissance durable. Mais surtout liberté politique. D’où son projet de soutenir les dissidents et les prisonniers politiques pour montrer clairement à tous ceux qui se battent pour leurs libertés que les USA sont à leurs côtés. Les opposants Iraniens, Nord-Coréens, Vénézuéliens, Syriens, et (hélas) tant d’autres dans le monde doivent regretter que G.W. BUSH ne soient plus Président… Et ils ne sont pas les seuls !

Rien qu’à revoir W. on retrouve le sentiment de sécurité qu’il avait su apporter au monde après les attentats du 11 septembre 2001.

Mr PRESIDENT, WE MISS YOU !