Les contes de fées semblent à la mode en ce moment.
Après Le petit chaperon rouge version hypra angoissante, que j'avais vu il y a quelques mois.
Après Once upon a time, nouvelle série dont je suis hypra fan.
Après Raiponce, plus classique.
Voici non pas une Blanche-Neige, mais deux, dont l'une est sortie récemment, l'autre sortira en juin.
Deux versions totalement différentes.
Première version : humour et couleurs, avec Julia Roberts dans le rôle de la vilaine belle-mère et Lily Collins en Blanche-Neige.
En attendant le film, lancement de la version de juin, qui semble bien angoissante. Images superbes. Avec Bella (mou de veau) en Blanche-Neige. Je suis moins tentée, mais la tentation de la comparaison est bien sûr grande.
Je ne vais pas vous faire l'affront de vous raconter l'histoire de Blanche-Neige, vous la connaissez, résumé en six expressions clés : princesse, marâtre, prince charmant, sept nains, pommes empoisonnée, bisou qui sauve.
Le film commence sur une Julia Roberts pleine d'humour et d'autodérision et une Blanche-Neige à la fois frêle et forte. Jolies interprétation des deux artistes, Julia qui ose jouer "la vieille", Lilly, fille de son célèbre père, qui ose la chansonnette avec un joli brin de voix.
Puis le prince, très bling bling.
Et les nains, version vilains.
Le tout saupoudré de jolis costumes, de décors féériques et d'un château vertigineux, où j'aimerais passer une nuit, malgré sa hauteur.
Une version humour et couleurs, disais-je, à conseiller plutôt aux adultes et aux ados qu'aux jeunes enfants, qui cerneraient mal les subtilités de l'histoire.
Blanche Neige