Et je te dis vous...

Publié le 16 mars 2008 par Boo
Hé ben oui.
Je te dis vous parce que, la semaine dernière, à ma question "on se dit quoi ?",  tu m’as dit :
Autrement dit, même si une majorité d’entre vous s’en tamponne la coquillette, ceux pour qui cette question existentielle avait une once d’importance m’ont dit « dis tu ! ». (En passant, je remarque avec gratitude qu’aucun troll n’est venu joué la fourchette vengeuse en votant pour le "arrête de parler". Merci. C’était un piège. En cliquant sur la case "arrête de parler", vous auriez attéri sur miss-marlene47.skyrock.com. Ce qui, reconnaissons-le, fait office de punition exemplaire et bien méritée).
Alors, donc,  je devrais te dire tu, me dis-tu... Mais ! Dans vos commentaires, par contre... Vous avez été une majorité à vous insurger contre la mode du tu. Parce que oui. C’est vrai. C’est une mode. Et par conséquent... A en user et en abuser, je risquerais de me retrouver face à cette problématique constatation : trop de tu tue le tu.
Or, Boo la coquillette fadade n’a envie de tuer personne. Même pas un petit tu. Et pis surtout, elle a pas envie de rentrer dans le moule en forme de macaron, parce que, dans le Larousse, ils le disent bien, que sa forme c’est un petit tube cintré (vous remarquerez que là où ils auraient pu dire "courbé" ou encore "coudé", ils ont préféré le qualificatif "cintré"... Déjà, j'me sens pas du tout démasquée...) Or donc, Boo, la coquillette cintrée, n’a envie de tuer personne et ne veut pas changer de forme (et va avoir besoin d’une aspégic dans 10mn si elle continue sur ce mode-là).
Donc, mes amis, on va continuer tout naturellement sur le vous. Parce que tout ça, et puis parce que, comme le dis si bien Riff : si j’étais dans un café, devant un vittel-fraise, à vous raconter mes anecdotes, à vous, ma bande de potes, ben je vous dirai vous. Parce que vous êtes une bande, et, contrairement à Renaud, pas à toi tout seul. Mais à vous tous ensemble.
Voilà.
Maintenant je crois que je peux prendre une aspégic… Vous en voulez une aussi ? Illustration : Cerise de Marie Desbons